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PANTHÈRE PREMIÈRE

SITE INTERNET

PANTHÈRE PREMIÈRE

Panthère Première, c’est une revue indépendante de critique sociale qui a lancé son premier numéro en septembre 2017 : une publication de cent pages, semestrielle, distribuée en librairies et dans les lieux « amis » (collectifs, militants, festivals…) dont le titre se fait l’écho de la langue vulgaire dont parle Dante, une langue parlée, locale, vernaculaire, qui échappe aux tentatives de fixation.

Panthère Première, c’est une revue publiant des textes (enquêtes, réflexions, récits, poésie) et des images qui interrogent l’existence d’une « sphère privée » et d’une « sphère publique », partant du principe que les phénomènes politiques sont traversants et qu’ils ne s’arrêtent donc pas aux portes d’une catégorie. Les enquêtes et papiers publiés dans Panthère Première se situent donc à l’intersection entre ce qui est renvoyé à l’intime (famille, enfance, habitat, corps, maladie, sexualités…) et les phénomènes qui cherchent à faire système (État, industrie, travail, colonialisme, rapports de genre…). Si l’on regarde bien dans ces entrecroisements, si l’on regarde dans le détail, beaucoup d’aspects sont entièrement laissés de côté par la critique ou l’analyse, ou difficilement regardés comme des objets politiques du fait de leur relégation, bien arrangeante somme toute, dans les tréfonds de l’intime (on peut citer en exemple la violence conjugale ou les maladies professionnelles).

Panthère Première est financé par son lectorat (ventes, abonnements, dons). Elle a aussi bénéficié, pour son lancement, d’une aide de la fondation Un monde par tous. Depuis son quatrième numéro, elle est également aidée par le Centre national du livre et par l’aide à l’édition de revue de la région Paca.

Panthère Première, c’est un grand collectif constitué d’une quinzaine de personnes qui s’occupent de mettre en œuvre la ligne éditoriale de la revue, de concevoir l’objet, de réfléchir à sa diffusion, et d’animer la structure associative et le modèle économique qui rendent possible la publication.

Plus concrètement, la revue est constituée d’une dizaine de personnes investies dans des activités de recherche, de relecture et d’écriture, d’une graphiste, de deux correctrices et de trois coordinatrices. Nous sommes rejointes, à chaque numéro, par une kyrielle d’auteur-ices et d’illustratrices.

 Si la revue publie les papiers et les images de contributeurs et de contributrices, nous avons en revanche opté pour une non-mixité éditoriale, sans homme cis. Ce choix nous semble favoriser l’invention de formes de travail et de coopération plus sereines et stimulantes. 

Revue indépendante de critique sociale

SEMESTRIEL

Panthère Première – Association loi de 1901 – 36 rue Bernard, 13003 Marseille, France

DIFFUSION : Nationale

PRIX DE VENTE : 10 Euros

ABONNEMENT

LE POING

SITE INTERNET
Notre podcast sur le Poing

LE POING

Le Poing est journal d’informations sur les luttes sociales à Montpellier et aux alentours, et de promotion des idées révolutionnaires et anticapitalistes.

Fondé en 2013 à Montpellier, le Poing a publié 32 numéros, imprimés à 3000 exemplaires en moyenne et distribués à la criée dans les rues de Montpellier.

Le Poing est aussi présent sur internet et les réseaux sociaux.

Plusieurs de nos papiers ont été repris par des médias nationaux, comme celui sur l’utilisation de fusils à pompe par la police contre des gilets jaunes à Montpellier (Médiapart), ou celui sur l’attaque d’un commando d’extrême-droite contre des étudiants à Montpellier (Libération).

Le Poing refuse de toucher des revenus de la publicité ou des subventions ; tous les rédacteurs du Poing travaillent bénévolement. Cette indépendance nous permet d’être maître de notre ligne éditoriale mais nos ambitions sont malheureusement limitées par nos moyens financiers.
 
Pour produire une information de qualité, nous avons besoin de matériel : appareil photo, caméra, dictaphone, etc.
 
Produire des articles à un coût : soutenez l’information libre et indépendante !

Luttes sociales, idées révolutionnaires et anticapitalistes

TRIMESTRIEL

Le journal Le Poing est édité par l’association LE POING ASSO (siège social : 47 rue Lunaret 34000 Montpellier)

DIFFUSION : À la criée sur Montpellier. Site internet

PRIX DE VENTE : Gratuit

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JEF KLAK

SITE INTERNET

JEF KLAK

Il aura fallu deux ans depuis les premières discussions dans un rade jusqu’à la première apparition de la revue Jef Klak en librairie, en septembre 2014. Deux piges de rencontres, d’idées farfelues, d’envies folles et de ricochets. Ce qui est beau et difficile, ce n’est pas d’éditer une revue, sans capital de départ, en toute indépendance, ni de trouver des plumes et des sujets. Ce qui est beau et difficile, c’est de fabriquer du collectif, de connaître et reconnaître l’autre, les autres, et s’interroger ensemble : sommes-nous condamnés à l’utopie ? À qui profite l’enquête sociale ? Les images changent-elles le monde ? Les lieux communs ont-ils été rayés de la carte ? Quels petits déjeuners pour les grands soirs ?

Entre 20 et 30 personnes selon les réunions, la météo et les humeurs, ont peu à peu construit une pensée commune. Une pensée commune, ce n’est pas une pensée bloc ni triste, c’est au contraire l’expression de contradictions, d’inconnues, de confrontations, d’enrichissements mutuels. Pour donner à nos échanges un nom collectif, nous avons choisi celui de l’homme et de la femme de la rue : c’est Fulano de Tal en espagnol, Marko Marković en bosnien, madame Michu, Momo ou monsieur Dupont en Hexagone. Jef Klak, d’origine flamande l’a emporté au tie-break.

Jef Klak, c’est un collectif et un site internet, donc, mais aussi une revue papier annuelle (à pagination variable) accompagné d’un disque de création sonore. L’objectif ? Ne pas redire. Aller chercher du politique là où il se terre, accueillir de nouveaux langages, mélanger les styles, se moquer du vrai pour lui préférer l’intense… Aussi avons-nous choisi la contrainte, le jeu pour point de départ. Une comptine sert de fil conducteur à Jef Klak : chaque numéro a un thème dans l’ordre de Trois p’tits chats – Marabout, Bout d’ficelle, Selle de ch’val, Ch’val de course, etc. Et chaque thème est déplié selon les questions sociales et esthétiques que l’on pourra affronter : Marabout aborde la magie, les relations entre croire et pouvoir, Bout d’ficelle explore les tissus – urbain, organique, textile –, les nœuds, les coutures… On vous laisse imaginer la suite.

Nous ne consacrons aucune page à la publicité et ne sommes rattaché·es à aucun groupe. Nous avons reçu des aides ponctuelles pour l’impression de certains numéros papier et sommes toutes et tous bénévoles. Jef Klak se prolongera de votre lecture, des sentiments, des discussions et des joutes qu’elle suscitera. Un collectif n’est jamais figé. Ni éternel.

Revue de critique sociale et d'expériences littéraires

ANNUEL

EDITION : Maison des écritures et des revues – 9, rue François Debergue – 93 100 Montreuil

DIFFUSION : Île de France, National

PRIX DE VENTE : 14 euros

COMMANDEZ LA REVUE

CREUSE CITRON

SITE INTERNET

CREUSE CITRON

Creuse Citron, le journal de la Creuse libertaire et qui déborde largement sur tout le Limousin, est vendu à prix libre. Ce journal s’adresse à tous ceux et celles qui luttent contre la falsification de l’information et la diffusion généralisée de l’idéologie libérale. C’est un journal indépendant et libertaire qui s’interdit toute exclusive et tout prosélytisme en faveur de telle ou telle organisation syndicale et politique. Il est réalisé par le collectif libertaire Creuse Citron.

« Voilà plus de 10 ans que le journal Creuse Citron se fait le porte-voix des idées libertaires et révolutionnaires depuis le Plateau. Quelques feuillets publiés en bimestriel et distribués chez les commerçants et plus particulièrement dans les cafés (comme l’Atelier de Royères par exemple). Il est vendu à prix libre. Il est rédigé et animé par quelques libertaires, creusois mais pas seulement, chacun pouvant d’ailleurs soumettre sa contribution via la messagerie électronique. Le ton est libre, les thèmes abordés toujours liés au mouvement anarchiste. Un autre vent souffle. »

TÉLÉCHARGEZ DES NUMÉROS

  • 67
    Fev. / Avril 21
  • 66
    Nov. 20 / Janv. 21
  • 63
    Fev. / Avril 20
  • 61
    Août / Oct. 19
  • 59
    Fev. / mai 19
  • 58
    Nov 18
  • 54
    Nov. 17 / Jan. 18
  • 49
    Août / Oct 16

Journal de la Creuse Libertaire

BIMESTRIEL

RÉDACTION : Association Creuse citron

DIFFUSION : Limousin

PRIX DE VENTE : Prix libre

BALLAST

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BALLAST

Ballast est une revue, créée en novembre 2014. Elle est animée par une vingtaine de militants-bénévoles, de France et de Belgique. À la fois numérique et papier jusqu’en mai 2021, elle se lit, depuis, exclusivement sur Internet. Assurément, ils saccagent tout. Ils dévastent les écosystèmes, fracassent l’hôpital public, délocalisent la production et débitent les animaux à la chaîne. Ils éborgnent les gilets jaunes descendus pour plus de démocratie. Ils vendent du matériel militaire à des tyrans et laissent la jeunesse étudiante faire la queue devant les points de distribution d’aide alimentaire. Ils se gorgent tandis que les démunis voient leur espérance de vie de treize ans inférieure aux favorisés. Ils paient les femmes moins que les hommes. Ils raflent l’uranium du continent africain. Ils sont un jour de « droite » et le lendemain de « gauche ». Ils sont le monde comme il est et ses grands médias. Nous parlons bien sûr des puissants. Ceux et celles qui dominent, exploitent, hiérarchisent et régentent. En un mot comme en cent : les « fondés de pouvoir du capital », constitués en une classe. Où que l’on pose son regard, partout leur sale besogne. « Socialisme ou barbarie », lançaient nos aînés depuis les quatre coins du globe. On pourra discuter les termes, non ce qu’ils ont — plus que jamais — à nous dire. C’est que, face aux partisans de l’inégalité et de la destruction climatique, nous n’avons pas d’autre choix : ce sera le front des partageux ou la déroute. Il s’agira de mêler la théorie et le ras de terre, l’analyse et le plan serré sur l’ordinaire. De combiner entretiens et reportages, littérature et philosophie politique, économie et poésie. De chercher les mots et les pratiques à même d’associer, tant bien que mal, les forces contestatrices. Ballast tâchera donc d’être une caisse à outils. Une réserve de munitions. Elle s’adressera à celles et ceux, têtes dures ou seulement curieuses, activistes aguerris ou simples passants, qui entendent bien renverser la table — pour plus d’égalité, de justice et de dignité.

Tenir tête, fédérer, amorcer

QUOTIDIEN

RÉDACTION : Collectif Ballast

DIFFUSION : Site internet

PRIX DE VENTE : Accès libre

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LA BRIQUE

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Notre podcast sur La Brique

LA BRIQUE

La Brique n’est attachée à aucune organisation, aucun parti, aucune institution. Que les responsables politiques tendance « sociale », les élites syndicales, culturelles et associatives se le tiennent pour dit : La Brique ne lâchera rien. Quant aux réactionnaires, gaullistes, fascistes, de droite ou autres centristes… La Brique est et sera impitoyable !

La Brique se veut un outil d’information critique pour chacun, chacune. Elle décrit la réalité sociale en tentant d’être un journal accessible par le plus grand nombre, un canard « populaire ». L’un des buts étant d’amener les gens à se mobiliser, à donner leur avis, sur des sujets, des faits, des projets qui les touchent directement.

La Brique privilégie l’enquête de terrain et l’investigation à la tribune d’opinion. Nous ne prétendons pas atteindre une pseudo objectivité ; l’objectivité du journaliste est un leurre : la manière de présenter les faits, ce qu’on ne dit pas, ce sur quoi on insiste, à qui on donne la parole : autant de démarches forcément subjectives et politiques, reflet d’une certaine réalité. Nous ne sacrifions rien à la vérité, mais utilisons l’humour pour donner un peu le goût de lire. Si on ne résistait pas dans la joie, au nom de quoi le ferions nous ?

La Brique est le miroir qui témoigne de l’évolution de Lille et de la région ; elle contribue à dénoncer les dysfonctionnements, malaises et dérives de sa vie démocratique.

Dans La Brique, le racisme, le patriarcat et le négationnisme n’ont pas leur place. Pas plus que l’apologie des hiérarchies, de la ségrégation où l’exploitation des corps et des esprits par le fric ou la pub.

Journal alternatif et autogéré, où la hiérarchie et la chefferie n’ont pas leur place, où la prise de décision recherche le consensus, où le partage des savoirs et savoir-faire est organisé. Nous fonctionnons sur un mode horizontal et collectif.

Journal local de critique sociale

MENSUEL

EDITION : Journal La Brique, 14 rue des Tours, 59800 Lille

DIFFUSION : Région lilloise

PRIX DE VENTE : 2 Euros

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FAKIR

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Fakir dans tes oreilles
Nos podcasts sur Fakir

FAKIR

Fakir n’est lié à aucun parti, aucun syndicat, aucune institution. Il est fâché avec tout le monde ou presque.

Depuis le premier numéro, en 1999, cet avertissement s’affiche à la Une de notre canard.

C’est qu’on aime bien la castagne. Et qu’elle nous le rend bien : on passe notre temps au tribunal (contre un patron du CAC 40, un journaliste aux ordres, un politicien imbus). Tous gagnés, pour l’instant, les procès.

On les remporte, parce qu’on n’aime pas trop les éditos, ni les chroniques. Nos dossiers s’appuient sur des reportages, des recherches dans les archives. Ça prend du temps, de l’énergie, mais qu’est-ce qu’on ne ferait pas vos beaux yeux ? (Et vos euros…)

On n’aime pas trop « l’actualité », non plus. C’est « le bruit des vagues en surface », répète notre rédac’chef. « Nous, ce qui nous intéresse, il poursuit (un peu grandiloquent), c’est la réalité : le mouvement des plaques tectoniques en profondeur. » On a donc consacré des dossiers à l’intérim, à la psychiatrie, aux contrats emploi solidarité, à un accident du travail, à une salle de muscu dans un quartier popu. Ou même à « la métaphysique du tuning ».

C’est qu’on aime bien, enfin, cette variété, cette surprise. Que le lecteur ne sache pas trop sur quoi il va tomber au prochain numéro, ou même à la page d’après. Comme un cadeau surprise. Qu’on évite le côté « militant chiant », avec la litanie des violences policières, des sans-papiers maltraités, avec toujours les mêmes photos de défilé, de gens alignés à la tribune. Et tant pis si les purs et durs se plaignent de nos impostures, ou de nos papiers culs.

Bon, tous ces « On aime / On n’aime pas », ça fait pas une ligne bien droite. Plutôt tordue. Tant mieux ou tant pis.

 

Journal fâché avec tout le monde. Ou presque.

TRIMESTRIEL

EDITION : Association Fakir – 4 rue blanquetaque – 80000 Amiens / 03 22 72 64 54

DIFFUSION : Nationale

PRIX DE VENTE : 3 Euros

Agir avec Fakir
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LE MOUAIS

SITE INTERNET
Nos podcasts sur le Mouais

LE MOUAIS

Contre le «journalisme de préfecture», pour la presse libre locale. Mouais, c’est un journal d’information indépendant et critique, qui sort des sentiers battus, gratte là où ça démange, et fait du bruit là où le silence devient pesant. Parce que nous devons en revenir aux fondamentaux : ceux d’une presse libre, locale, indépendante, et ancrée dans le quotidien des habitant.e.s des territoires.

Nous ne pouvons plus accepter que des éditorialistes hors-sol, des prétendus « experts » en roue libre, des gratte-papier ne sachant plus que recopier les éléments de langage de la communication du gouvernement, des mairies, des postes de polices, des préfectures et des multinationales, privatisent pour leur compte l’espace d’expression publique –imposant leurs intérêts et leurs lois à des hordes de prolétaires de l’info, pigistes sous-payés, qui constituent aujourd’hui, ne l’oublions pas, le gros des journalistes… Et qui, eux aussi, sont les victimes d’un système médiatique figé, enkysté dans les sphères de pouvoir.

Pourquoi « mouais » ? Voyons donc la définition de ce terme. Mouais: expr. pop. fr. : Se dit afin d’exprimer une sorte de doute diffus face à une affirmation quelconque. Ex : « Il était bien, ce film avec Kev Adams, non ? –Mouais… » Mouais, journal dubitatif, tel le chat (noir, bien entendu) qui lui sert d’emblème, ne prend donc jamais pour argent comptant ce qu’on lui propose, pas même un savoureux bol de croquettes au saumon. A tout ce qui lui arrive aux oreilles, qu’il a grandes, curieuses et attentives, il oppose ce même « mouais » circonspect.

Roberto Bolaño : « Que l’amnésie jamais ne vienne embrasser notre bouche. Que jamais elle ne l’embrasse. Nous rêvions d’utopie, et nous nous réveillons en criant … Faire apparaître les nouvelles sensations. Subvertir la quotidienneté. OK. LACHEZ-TOUT, A NOUVEAU. LANCEZ-VOUS SUR LES CHEMINS. »

Et laissons derrière nous, s’il vous plait, Jean-Michel Apathie, Franz-Olivier Giesbert, Laurent Ruquier, Yann Moix, Léa Salamé, Dominique Seux, Olivier Duhamel, Eric Brunet, Ruth Elkrief, Christophe Barbier, Nicolas Demorand, Ana Cabana, Laurent Delahousse, Jean-Pierre Pernault, Nicolas Domenach, Pascal Praud, Zemmour et Naulleau, Laurent Joffrin, Patrick Cohen, et tous les autres.

Parce qu’ils ne sont pas les médias. Ils ne sont que les porte-voix d’eux-mêmes, et de leurs maîtres.

NOUS sommes les médias. (Par Macko Dràgàn)

Le Mensuel dubitatif … Quoique

MENSUEL

EDITION : ARMA – Association pour la Reconnaissance des Médias Alternatifs – NICE

DIFFUSION : Alpes-Maritimes

PRIX DE VENTE : 3 Euros, prix libre à la criée

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REPLICA

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Notre podcast sur la Mule

REPLICA

La Mule du Pape est un média libre et indépendant, fondé en 2019, suite aux constats sur le manque de pluralité de l’information et les déséquilibres des moyens de sa diffusion entre ses différents acteurs. Née lors du mouvement des Gilets jaunes, La Mule couvre les luttes et l’actualité militante sur son site internet. Tous
ses articles sont en accès gratuit, et ses journalistes assurent ce
travail de manière bénévole, sans aucune publicité, ni subventions. D’une envie de donner corps matériellement aux travaux que nous réalisons au quotidien, est née une revue : Replica.

Replica, c’est 124 pages d’enquêtes, de reportages de terrain et de dossiers sur des thématiques aussi diverses que profondément ancrées dans les problématiques contemporaines du monde qui nous entoure. Tirée à 1000 exemplaires, cette revue trimestrielle est aussi une aventure esthétique pour la Mule, l’occasion de donner corps à des travaux photographiques menés à long terme.

 

 

La revue de la Mule,
Le média qui s'entête

TRIMESTRIEL

EDITION : Association Les Médias de Pampérigouste

DIFFUSION : NATIONALE

PRIX DE VENTE : 10 Euros

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LE RAVI

SITE INTERNET
Notre podcast sur le Ravi

LE RAVI

Depuis dix-huit ans, le Ravi promène sa plume en Provence-Alpes-Côte d’Azur, mixant dessins et articles, enquête et satire.

 

Le mensuel qui ne baisse jamais les bras !

le Ravi pratique un journalisme d’investigation et se donne un devoir d’irrévérence en privilégiant le dessin de presse. Il est né, en 2004, d’un constat : la presse régionale, trop liée aux pouvoirs locaux, focalisée sur les faits-divers et le sport parce-que-ça-fait vendre, ne remplit plus sa mission. Édité par une association indépendante, le Ravi n’appartient qu’à ses lecteurs. C’est un mensuel diffusé dans le réseau presse en Provence-Alpes-Côte d’Azur dont tous les contenus – et plus encore – sont désormais disponibles en ligne sur ce site. C’est aussi un journal citoyen investi dans l’éducation aux médias et les quartiers populaires.

Enquête et satire

MENSUEL

EDITION : Association La Tchatche / LE RAVI, 11 boulevard National – 13001 Marseille / 04 91 08 78 77

DIFFUSION : Provence-Alpes-Côte d’Azur

PRIX DE VENTE : 3 Euros

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Les Ateliers de la Tchatche