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La Déferlante est la première revue trimestrielle post-#metoo consacrée aux féminismes et au genre. Tous les trois mois, en librairie et sur abonnement, elle raconte les luttes et les débats qui secouent notre société.
Créée et dirigée par des femmes, La Déferlante donne la parole aux femmes et aux minorités de genre et visibilise leurs vécus et leurs combats.
Pour appréhender la complexité et le foisonnement des débats actuels, nous vous proposons des articles de fond, au graphisme soigné car nous pensons que la qualité de la mise en page sert l’accessibilité du propos.
Tous les trois mois, nous publions une multiplicité de formats journalistiques pour raconter les révolutions féministes : récits, enquêtes, portraits, reportages, bande dessinée, portfolio…
La Déferlante croise les regards de journalistes, d’auteur·rices, de chercheur·ses, d’artistes et d’activistes. Elle a pour ambition de déconstruire les normes de genre, celles qui se logent partout et principalement dans les creux de nos vies quotidiennes. Aussi, nous consacrons dans chaque numéro un dossier central à un thème déclinable à l’infinitif : manger, se battre, aimer, voter, etc.
TRIMESTRIEL
FONDATRICES : Marie Barbier, Lucie Geffroy, Emmanuelle Josse, Marion Pillas
DIFFUSION : Nationale, librairies, abonnements
PRIX DE VENTE : 19 euros
Publié depuis 2003, CQFD est basé à Marseille, ce qui lui évite de croire que les Champs-Élysées sont le centre du monde. Mais ce canard rebelle est distribué dans toute la France et s’intéresse à ce qui se passe partout sur la planète.
Né des cendres du Rire, le journal du Réseau d’information sur les réfractaires au service militaire, CQFD reste insoumis et carrément hostile à ceux et celles qui voudraient l’enrôler sous quelque drapeau que ce soit.
Il témoigne des luttes sociales et des diverses aspirations à l’émancipation : féminismes, résistances au travail aliéné, antiracismes, autogestion, écologie sociale, etc. En même temps, il s’évertue à dénoncer frontalement l’organisation mortifère du monde ultralibéral : politiques sécuritaires, surveillance technologique, contrôle des chômeurs, servilité des médias, nationalismes, etc.
MENSUEL
EDITION : CQFD, BP 70054, 13192 Marseille cedex 20 / 04 91 90 25 04
DIFFUSION : Nationale
PRIX DE VENTE : 4 Euros
Il y a mille façons de définir le projet Grenouille : média libre, musiques et cultures urbaines, créations sonores, ateliers de pratique radiophonique, événements dans la ville et dans le monde… Parce qu’à la radio, c’est à vous de voir. À vous d’imaginer, à vous de décider, si les parcours que l’on vous propose peuvent tracer de nouvelles perspectives, ouvrir de nouveaux horizons, inventer des possibles. Dire Radio et Cultures, à l’ère numérique, c’est rappeler et revendiquer les valeurs qui nous animent : liberté, partage, imagination, puissance de transformation. C’est aussi jouer avec toutes les possibilités offertes par les mutations du web, pour dire encore la nécessité de cultiver un art de l’écoute inventive, curieuse des autres et du monde.
chrisamploua@gmail.com
AMPLOUA
21, place Alexandre Mari
06390 Coaraze
Mauris était un homme d’exception, troubadour moderne du pais niçard. Compositeur interprète en occitan (niçard) il a fait chanter les mots d’Alan Pelhon et de Jan Luc Sauvaigo notamment. Ils ont ensemble inscrit l’occitan (niçard) dans une modernité qui a fait souche. Merci du fond du cœur, merci. Chanteur engagé et angageant, humain et humaniste, ses chansons parlent de vie, d’amour, de révolte, enfin de ce qui fait de nous des hommes.
Reprendre ses chansons avec Amploua, c’est l’occasion se se retrouver à ses côtés, partager encore de beaux et bons moments en sa compagnie.
Reprendre ses chansons, c’est une évidence tellement j’ai aimé et j’aime cet homme qui a tant compté dans mon chemin de vie alors si le cœur vous en dit en barca gens de marca et bon voyage…
Christian Bezet
L’anarchie est un mouvement politique qui reprend du poil de la bête dans la caboche de militants autonomes. À la campagne, dans la rue, dans les squats, comme à l’écran, l’anarchie est une utopie pour penser le monde et inventer au présent de nouvelles formes de propriété, de paysannerie, de démocratie face à la violence des banques et des décideurs politiques.
Au sommaire du numéro 172 :
1 / édito : linky : les opposant·es tiennent bon et ont bien raison !
Au Kazakhstan, le féminisme pour décoloniser les esprits
3-4 / L’homme qui plantait des figuiers
Entretien : l’ubérisation en prison ?
BD : le tableau noir de la macronie
12-13 / Portfolio : dans les forêts brûlées de sibérie
14 / Actu : l’écologie de rupture dans la rue contre bayer
16-17 / La lorgnette : au Sahel, le dérèglement climatique a bon dos
18 / L’atelier couture et compagnie / P.I.A.F / cuisiner sans gluten / le coin naturopathie
20-21 / Fiche pratique accueillir les abeilles… sans vouloir les exploiter
Dossier 6 pages : Cap sur l’anarchie
L’anarchie est un mouvement politique qui reprend du poil de la bête dans la caboche de militants autonomes. À la campagne, dans la rue, dans les squats, comme à l’écran, l’anarchie est une utopie pour penser le monde et inventer au présent de nouvelles formes de propriété, de paysannerie, de démocratie face à la violence des banques et des décideurs politiques.
MENSUEL
EDITION : L’âge de faire
Siège social : L’âge de faire – le journal / 17, Av Balard – St Auban – 04600 Château-Arnoux-St Auban /04 92 61 24 97
DIFFUSION : Nationale
PRIX DE VENTE : 2,80 Euros
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Alors bien-sûr, jamais vous ne recevrez de kit, ceci est donc une blague. En revanche, rien ne vous empêche de faire un don à YouTubercule.
Rendez-vous chaque mois au local de Nice en Commun, rue François Guisol, Nice. L’équipe du Mouais présente son nouveau numéro, on lit un choix d’articles, on échange et on débat, on boit du pinard et des binouses, on profite de mini-concerts en live. Et YouTubercule est là pour enregistrer tout ça et le mettre dans vos oreilles ! Guettez les prochaines dates sur le site du Mouais, venez nous rencontrer.
MENSUEL
EDITION : ARMA – Association pour la Reconnaissance des Médias Alternatifs – NICE
DIFFUSION : Alpes-Maritimes
PRIX DE VENTE : 3 Euros, prix libre à la criée
Quand on part en camion faire nos reportages ou nos feuilletons, on adore aller rendre visite, souvent à l’improviste, aux radios associatives locales. Libres, indépendantes, souvent sans pubs ni subventions, elles tissent le lien social du territoire. L’occasion pour nous de vous faire entendre d’autres sons, d’autres émissions, de vous faire découvrir d’autres initiatives. Souvent, nous mutualisons nos contenus, gratuitement. Certaines de ces radios diffusent nos feuilletons sur leurs ondes, et nous les mettons à l’honneur ici sur cette page. Allez écouter la petite sélection de podcasts que nous vous avons préparée, n’hésitez pas à ajouter ces radios dans vos favoris, soutenez les en les suivant !
Fâché avec tout le monde ou presque, drôle sur la forme, sérieux sur le fond, combatif mais pas sectaire !
Radio associative, sans publicité (une exception dans le paysage médiatique !), Agora Côte d’Azur tisse le lien entre les habitants des lieux où l’on capte ses ondes, en plaçant leur parole au cœur de ses choix éditoriaux. C’est la richesse de « ces acteurs de terrains » que nous souhaitons défendre dans le paysage radiophonique actuel.
En privilégiant l’information locale tout public, en diffusant les émissions culturelles réalisées par des bénévoles et en agrémentant notre antenne d’une programmation musicale éclectique qui donne place aux jeunes talents musiciens et chanteurs de notre région, Agora Côte d’Azur est une radio de proximité qui vous ressemble, qui conforte les liens sociaux et favorise le débat.
Après avoir obtenu la légalisation des radios libres, après voir mené une lutte acharnée pour faire vivre nos projets alternatifs, critiques et différents sur les ondes , nous avons réussi à obtenir l’attribution d’une fréquence pour un projet authentiquement associatif, libre, indépendant et interculturel . ( Ce projet résulte de la proposition acceptée par tous de fusion des trois radios : Soleil Provence, Treize et Provisoire.
Indépendante de tout parti politique, église, puissance financière et qui entend créer sur Marseille et sur les ondes un espace de liberté …
Radio libre, elle fait la part belle à la libre antenne, à l’ouverture à ses auditeurices. Elle a pour but d’être la voix des sans-voix, l’expression de toutes les couleurs et nationalités, de tous les mouvements populaires et progressistes, de toutes les gauches, des associations, partis politiques et syndicats qui les composent. Politique, sociale, culturelle et internationale.
Média local d’information qui se mouille et s’engage, provoque et nourrit des débats au sein de notre camp social : celui des travailleureuses, des précaires, des privé.es d’emploi, des étudiant.es, des détenu.es, des personnes LGBTQ, des écologistes et défenseureuses de notre environnement.
Comme on n’est que deux à tout faire et qu’on a une vie sexuelle aussi, la boutique n’est pas prête pour l’instant. Mais elle le sera bientôt. D’ailleurs toute aide est la bienvenue, n’hésitez pas à nous écrire ! Dans la Boutiquercule vous trouverez tout ce qu’il vous manque pour continuer votre transformation.
Pour vous mettre l’eau à la bouche : t-shirts et tote-bags en coton bio fabriqués en France et sérigraphiés à la main dans l’Atelier Chimichurri à Marseille. Nos fameuses pommes de terre germées et séchées, pièces uniques, élégamment encadrées par Élodie Paladino à l’Atelier Chimichurri de Marseille pour orner vos murs. Mais aussi des cartes postales, des autocollants et tout ce qu’on n’a pas encore imaginé.
Maman, maman ! C’est quoi artiste ?
C’est vrai que nous-mêmes on a un peu de mal à vous dire ce que c’est. Surtout si on pense à la conférence gesticulée de Franck Lepage et Anthony Pouliquen sur la culture… Bref, vous irez écouter.
En tout cas, artiste ça parle à tout le monde et c’est quand même plus court que « acteurices de la scène musicale indépendante ». Car c’est bien de ça dont il s’agit.
Ici vous trouverez les pages dédiées aux chanteureuses, musicien.nes ou groupes qu’on rencontre sur notre route. On leur fait une place pour les mettre en valeur et diffuser ce qu’iels font. On vous le redit, vous n’y échapperez pas.
Les Playbums c’est des playlistes et des albums. C’est facile, c’est pas compliqué.
Les playlistes regroupent tous les morceaux qu’on utilise dans nos feuilletons radiophoniques. Comme ça vous pouvez faire votre tambouille, votre sport ou vos longueurs de bassin en musique.
Parfois aussi on assemble plusieurs morceaux pour n’en faire qu’un, on s’amuse quoi. Dans les détails de chaque épisode vous trouverez un onglet qui détaille chaque morceau au cas où vous voudriez agrandir votre discothèque ou vous passionner pour un.e nouvel.le artiste.
Ici on met aussi en avant les albums et les EP des groupes, musicien.nes et chanteureuses locaux-ales qu’on croise et rencontre pendant nos virées. On fait de la place à celles et ceux qui peinent parfois à en trouver une pour se faire entendre.
On participe à beaucoup de salons et de festivals. Des salons bio, des festival de cinéma indépendant… On y tient toujours une table pour vendre les bouquins des éditions Agone et Fakir, les dvd des Mutins de Pangée.
Souvent dans ces endroits, des conférences sont organisées. On enregistre celles qui nous parlent, qui nous apprennent de nouveaux trucs, qui nous invitent à réfléchir.
Côté technique, on se branche à la sortie de la table de mixage et on appuie sur REC. Alors c’est vrai que selon le type de micro utilisé par les organisateurices, la façon que l’intervenant.e a de le tenir, le son est plus ou moins bon.
En tout cas, on ne vous diffuse que ce qui est audible, car de toute façon, vous n’y échapperez pas.
Pour les entretiens, on procède de différentes manières.
Soit on se ballade et on tombe sur une perle, alors on sort le matos en mode portable, micro tendu, soit on prévoit une intervention à l’avance.
Dans ce cas, on met en place une table radio, quatre micros, quatre casques, un retour pour que les gens qui passent puissent entendre.
Tout le monde peut intervenir à tout moment, les micros sont ouverts, la parole est libre.
Pour le montage c’est plus simple : on fait un habillage avec nos jingles, on nettoie le son, on retire quelques silences s’ils ne sont pas adéquats et c’est tout. On ne coupe rien des propos.
Un feuilleton radiophonique, ça s’écoute comme un film, mais c’est bien mieux, car il n’y a pas d’images.
En pratique, on part entre une semaine et 10 jours à un endroit. On rencontre des gens, on découvre des lieux, des associations. On enregistre tout ça, on fait des prises de sons d’ambiance et on rentre à la maison.
Vient ensuite le temps du montage. On prend beaucoup de temps pour le faire bien, pour mettre en valeur les propos, choisir les musiques adaptées.
On fait ça sur plusieurs semaines à Coaraze, par périodes de 3-4 jours pendant lesquels pastis, côtes de bœuf grillées, patates sautées, pinard et séances cinéma sont le réconfort d’un travail méticuleux.
L’espace Focus, c’est l’endroit dans lequel on met en avant les personnes que nous avons rencontrées pendant nos ballades et dont le boulot nous a séduit.
Dans Focus vous en découvrirez un peu plus sur iels : des textes, des photos, des vidéos, des liens… Tout ce qu’il vous faut pour continuer votre métamorphose.
On vous avait prévenu, de toute façon, vous n’y échapperez pas.
Fakir n’est lié à aucun parti, aucun syndicat, aucune institution. Il est fâché avec tout le monde ou presque.
Depuis le premier numéro, en 1999, cet avertissement s’affiche à la Une de notre canard.
C’est qu’on aime bien la castagne. Et qu’elle nous le rend bien : on passe notre temps au tribunal (contre un patron du CAC 40, un journaliste aux ordres, un politicien imbus). Tous gagnés, pour l’instant, les procès.
On les remporte, parce qu’on n’aime pas trop les éditos, ni les chroniques. Nos dossiers s’appuient sur des reportages, des recherches dans les archives. Ça prend du temps, de l’énergie, mais qu’est-ce qu’on ne ferait pas vos beaux yeux ? (Et vos euros…)
On n’aime pas trop « l’actualité », non plus. C’est « le bruit des vagues en surface », répète notre rédac’chef. « Nous, ce qui nous intéresse, il poursuit (un peu grandiloquent), c’est la réalité : le mouvement des plaques tectoniques en profondeur. » On a donc consacré des dossiers à l’intérim, à la psychiatrie, aux contrats emploi solidarité, à un accident du travail, à une salle de muscu dans un quartier popu. Ou même à « la métaphysique du tuning ».
C’est qu’on aime bien, enfin, cette variété, cette surprise. Que le lecteur ne sache pas trop sur quoi il va tomber au prochain numéro, ou même à la page d’après. Comme un cadeau surprise. Qu’on évite le côté « militant chiant », avec la litanie des violences policières, des sans-papiers maltraités, avec toujours les mêmes photos de défilé, de gens alignés à la tribune. Et tant pis si les purs et durs se plaignent de nos impostures, ou de nos papiers culs.
Bon, tous ces « On aime / On n’aime pas », ça fait pas une ligne bien droite. Plutôt tordue. Tant mieux ou tant pis.
TRIMESTRIEL
EDITION : Association Fakir – 4 rue blanquetaque – 80000 Amiens / 03 22 72 64 54
DIFFUSION : Nationale
PRIX DE VENTE : 3 Euros
Le Ravi est mort. Et oui, voilà ce qui arrive à la presse indépendante quand on ne la soutient pas… Depuis dix-huit ans pourtant, le Ravi promènait sa plume en Provence-Alpes-Côte d’Azur, mixant dessins et articles, enquête et satire.
Le Ravi c’était le mensuel qui ne baisse jamais les bras !
le Ravi pratiquait un journalisme d’investigation et se donnait un devoir d’irrévérence en privilégiant le dessin de presse. Il est né, en 2004, d’un constat : la presse régionale, trop liée aux pouvoirs locaux, focalisée sur les faits-divers et le sport parce-que-ça-fait vendre, ne remplit plus sa mission. Édité par une association indépendante, le Ravi n’appartenait qu’à ses lecteurs. Mensuel diffusé dans le réseau presse en Provence-Alpes-Côte d’Azur dont tous les contenus – et plus encore – sont toujours disponibles en ligne sur le site. C’etait aussi un journal citoyen investi dans l’éducation aux médias et les quartiers populaires.
MENSUEL
EDITION : Association La Tchatche / LE RAVI, 11 boulevard National – 13001 Marseille / 04 91 08 78 77
DIFFUSION : Provence-Alpes-Côte d’Azur
PRIX DE VENTE : 3 Euros
La Brique n’est attachée à aucune organisation, aucun parti, aucune institution. Que les responsables politiques tendance « sociale », les élites syndicales, culturelles et associatives se le tiennent pour dit : La Brique ne lâchera rien. Quant aux réactionnaires, gaullistes, fascistes, de droite ou autres centristes… La Brique est et sera impitoyable !
La Brique se veut un outil d’information critique pour chacun, chacune. Elle décrit la réalité sociale en tentant d’être un journal accessible par le plus grand nombre, un canard « populaire ». L’un des buts étant d’amener les gens à se mobiliser, à donner leur avis, sur des sujets, des faits, des projets qui les touchent directement.
La Brique privilégie l’enquête de terrain et l’investigation à la tribune d’opinion. Nous ne prétendons pas atteindre une pseudo objectivité ; l’objectivité du journaliste est un leurre : la manière de présenter les faits, ce qu’on ne dit pas, ce sur quoi on insiste, à qui on donne la parole : autant de démarches forcément subjectives et politiques, reflet d’une certaine réalité. Nous ne sacrifions rien à la vérité, mais utilisons l’humour pour donner un peu le goût de lire. Si on ne résistait pas dans la joie, au nom de quoi le ferions nous ?
La Brique est le miroir qui témoigne de l’évolution de Lille et de la région ; elle contribue à dénoncer les dysfonctionnements, malaises et dérives de sa vie démocratique.
Dans La Brique, le racisme, le patriarcat et le négationnisme n’ont pas leur place. Pas plus que l’apologie des hiérarchies, de la ségrégation où l’exploitation des corps et des esprits par le fric ou la pub.
Journal alternatif et autogéré, où la hiérarchie et la chefferie n’ont pas leur place, où la prise de décision recherche le consensus, où le partage des savoirs et savoir-faire est organisé. Nous fonctionnons sur un mode horizontal et collectif.
MENSUEL
EDITION : Journal La Brique, 14 rue des Tours, 59800 Lille
DIFFUSION : Région lilloise
PRIX DE VENTE : 2 Euros
L’âge de faire témoigne des expériences alternatives en matière de réappropriation de l’économie, de création de lien social, d’écologie et d’engagement citoyen. Son credo : offrir à ses lecteurs des outils qui leur permettront de mettre en œuvre leurs idées.
L’âge de faire, c’est une équipe de huit salariés réunis pour proposer une info libre et joyeuse. Notre credo ? Mettre en lumière des alternatives concrètes en matière d’écologie, de création de lien social, d’économie et de citoyenneté. Nous voulons offrir à nos lecteurs des outils pour mettre en œuvre leur idées. Le journal a été créé en 2005 par une association.
Aujourd’hui, nous sommes réunis au sein d’une SCOP (Société coopérative ouvrière de production). Et ça change pas mal de choses. Nous décidons ensemble du contenu et de la ligne éditoriale du journal. À chaque fin de mois, on se réunit collectivement pour imaginer de nouveaux sujets et de futurs projets. Le journal appartient aux 8 salariés : il n’y a pas « d’actionnaire extérieur », donc une plus grande liberté de ton. Egalement, nous pratiquons l’autogestion : pas de patron au quotidien… et 8 patrons aux réunions ! On a également décidé de pratiquer l’égalité salariale.
Nous ne sommes liés à aucun parti politique, à aucun actionnaire et on déteste la pub. Seuls nos lecteurs nous font vivre. Nous sommes membres de la Coordination permanente des médias libres, qui rassemble des médias citoyens et alternatifs face aux grands groupes de presse traditionnels aux mains d’une poignée de géants.
On a fait le choix de ne pas être en kiosque, et plutôt de compter sur le soutien de particuliers, de magasins ou d’associations qui nous font connaître. Notre journal est aussi vendu dans les foires et salons par notre réseau de sympathisants.